Lecture Septembre 2017
Mon avis : Un SDF est sauvagement assassiné, son corps portant des traces de morsures humaines. L’hécatombe se poursuit et pourtant l’ADN retrouvé est à chaque fois différent.
Aurait-on lâché une armée de cannibales ?
J’ai connu Katia Campagne grâce à « IVM » que j’ai beaucoup aimé, mais celui-ci est à mon sens encore supérieur.
Avant de le commencer, j’imaginais un roman d’horreur, fantastique ou quelque chose dans le même genre (moi et les zombies, vampires etc…. ne sommes pas très copains).
Eh bien oui, il y a une part d’irréel mais pas que ça.
L’auteure mélange le thriller, l’horreur et les secrets de famille pour en faire un récit addictif. Elle arrive à doser tous ces ingrédients sans tomber dans le bon livre d’épouvante bien téléphoné.
Avec son écriture fluide, nerveuse et un brin d’humour noir, elle nous entraîne dans une histoire originale et sans temps mort.
Au risque de devenir végétariens, n’hésitez pas, dévorez-le !
Résumé : En 1957, deux scientifiques découvrent en Nouvelle Guinée, une étrange maladie qui a décimé toute une population aborigène. Cette maladie, induite par un rituel nécrophage est répertoriée dans les maladies spongiformes incurables. Le gouvernement australien interdit alors les pratiques cannibales, et la maladie disparaît.
De nos jours. Le capitaine Lyes Dinah enquête sur une série de meurtres atroces en périphérie de la ville de Chartres. Les victimes ont vraisemblablement été victimes d’agressions cannibales. Aidé par une amie journaliste, il remonte la piste d’une famille qui cache un abominable secret.
Date de parution : réédition 26.06.2019 aux Editions Evidence