Samedi, c’est permis aussi !! Des Lignes et des Pages de Nath 2021#16

Comme les Journaux se sont bien amusés à compter les pages, ils ont décidé de continuer, voici leur bilan du 25 Septembre au 1er Octobre 2021 :

  • Eaux Sombres de Suzanne Jansson  : 298 pages

Eaux Sombres

Résumé : La légende raconte que l’océan murmure parfois à l’oreille des enfants… Martin, Alexandra et leurs deux enfants, Adam et Nelly, viennent d’emménager dans la maison de famille, sur une île isolée au large des côtes suédoises. Un matin, alors qu’ils descendent sur la plage, Adam échappe à la vigilance de son père, ne laissant derrière lui qu’un seau rouge et une botte. Malgré l’absence de corps et les menaces reçues par Martin peu de temps auparavant, la police conclut à une noyade.
Dévasté par le chagrin et la culpabilité, le jeune père plonge dans une profonde dépression et s’isole même de ses proches. Seule Maya, une photographe quinquagénaire fraîchement débarquée sur l’île, s’obstine à lui rendre visite. Ensemble, ils découvrent que les anciens propriétaires de la maison se sont noyés au même endroit à des années d’intervalle. Martin ne peut croire à une coïncidence. Au fil d’une quête désespérée, cet homme brisé déterrera plus d’un secret…

  • Les oubliées de Cadillac de Michel Lataste : 272 pages

les oubliées de cadillac

Résumé : Année 1927, Joséphine, âgée de 17 ans, injustement condamnée, sera conduite dans la maison de préservation pour jeunes filles de 9 à 21 ans dans le château du duc d’Épernon de Cadillac en Aquitaine. Au XIXe siècle, ce château de Cadillac, tragique parenthèse de son histoire, fut la pire des prisons pour femmes. Des milliers d’entre elles y furent incarcérées, souvent à tort, mais toutes y vécurent l’enfer et bien souvent, la mort était leur seule issue. Le froid, la crasse, les maladies, la maltraitance et des travaux harassants étaient le quotidien de toutes ces femmes, dont certaines n’étaient que des enfants. Jugées par des hommes, dans des établissements gérés par des hommes et surveillés encore par des hommes, le viol était l’arme de soumission. Début XXe siècle, l’État décide de féminiser les prisons pour femmes. Les sœurs de la sagesse prennent le relais et rapidement gèrent l’établissement d’une main de fer. Année 2021, à l’heure où l’on parle de violences conjugales, comment pourrait-on qualifier ce pan de l’histoire peu glorieux de l’État français ?

Vous connaissez ces livres ? 

SEULS ONT ÉTÉ COMPTABILISÉS LES LIVRES TERMINÉS, SOIT UN TOTAL DE 570 PAGES

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