Lecture 2016
Mon avis : Paris – Des délinquants notoires, relaxés par la justice sont exécutés, avec, gravés sur le front les mots « Ad Unum ».
Le commandant Boris Le Guenn et son équipe sont à la recherche de ce « justicier ».
Comme toujours, j’ai tout fait fait dans le désordre en commençant par le second tome des péripéties de Le Guenn. Heureusement, ça n’a rien de gênant.
Vous allez me dire: encore et toujours une équipe d’enquêteurs soudée, d’un classique…… Mais ça fonctionne!
Didier Fossey étant flic à la retraite, le roman est très réaliste sans retournements rocambolesques et tarabiscotés.
Dans ce polar, pas de policiers dépressifs, mais un commandant « normal » avec femme, enfants et un carlin (eh non, il n’est ni alcoolique, ni suicidaire….) qui mène sa troupe avec beaucoup de psychologie.
Grâce aux flash-back, on découvre la personnalité et le parcours du tueur dont la vie n’a pas été un long fleuve tranquille.
Un roman qui devrait plaire aux amateurs du genre.
Résumé : Paris, février 2011. Le froid, la neige, le verglas. Une nouvelle victime est retrouvée pendue, les mains attachées, avec une inscription latine gravée sur le front : « AD UNUM », qui signifie « jusqu’au dernier ». Deux autres victimes ont déjà été découvertes dans les mêmes conditions. Le commandant Boris le Guenn, chef de groupe de la B.A.C. au 36 Quai des Orfèvres, et son équipe ont affaire à un redoutable psychopathe qui agit de façon méthodique et discrète. Quelles sont ses véritables motivations ? L’enquête se révèle difficile, le tueur n’hésitant pas à impliquer personnellement les policiers dans son projet machiavélique pour parvenir à ses fins. Mais tout rouage est capable de se gripper…
Date de parution : 07.03.2018 aux Editions Flamant Noir
Autre avis sur ce livre : Collectif Polar,