Comme les Journaux se sont bien amusés à compter les pages, ils ont décidé de continuer, voici leur bilan du 23 au 29 Novembre 2019 :
- Les Oubliés de Malik Agagna : 292 pages
Résumé : En enquêtant sur la disparition d’un rocker sur le retour, un ancien flic, viré du SRPJ de Strasbourg pour une bavure monumentale, découvre que de nombreux marginaux disparaissent sans laisser de traces… Pister l’ancien chanteur va l’amener à croiser une cohorte de personnages pour le moins saisissante : fonctionnaires véreux, migrants apeurés, adolescents déboussolés, musiciens de seconde zone, criminels en mal de rédemption…
- On ne choisit pas sa famille de Cécile Pellault : 214 pages
Résumé : Une mère qui adopte sa quatrième grand-mère, une chef qui l’assigne à des missions improbables, un mari en crise de paternité aigue, la semaine de Camille n’était tout simplement pas assez chaotique. . . Le coup de fil de son frère d’une prison d’un obscure patelin de Floride achève le rêve de Camille d’une vie et d’une famille ordinaire. Et elle devra compter sur chaque membre de son invraisemblable famille composée, recomposée, décomposée pour tirer son frère de sa geôle où il est retenu par des autorités locales obsédées par la lutte anti-terroriste !
Surtout Le Pire de Lou Vernet : 272 pages
Résumé : Ce que l’aube promet au jour n’est souvent qu’un leurre. Anne Carrière le vérifie à chaque découverte macabre. Cette fois-ci, il s’agit d’une jeune femme, Sandra Link, 24 ans, retrouvée morte dans sa baignoire. Un banal suicide, à première vue, comme il en existe toutes les quarante secondes dans le monde. Une histoire vite retracée. Fugueuse depuis ses dix-huit ans, la jeune femme venait d’accoucher deux jours plus tôt dans un hôpital parisien d’où elle s’était enfuie aussitôt en abandonnant son enfant. Bien trop jeune et seule pour porter un si lourd fardeau. Ce n’est pas la première ni la dernière fois et pourtant la légiste ne s’y fait pas. Surtout que c’est le second cas en moins d’un mois. À croire que toutes les guerres et les catastrophes ne suffisent plus à la misère humaine. Il faut encore que soient ajoutés au nombre des victimes des nourrissons. Comme un besoin d’éradiquer tout espoir, toute rédemption.
- Les Uniformes Bleus : Un Bon Flicard (Tome 1) d’Eric Dupuis : 402 pages
Résumé : Au cours de sa patrouille, un véhicule de la BAC disparaît et les trois policiers à son bord sont dès lors portés absents sur les ondes.
Comme par hasard, ces fonctionnaires venaient d’être relaxés suite à leur procès en cour d’assises pour homicide, proxénétisme, trafic de drogue et corruption.
Vengeance, représailles ou fait isolé ? Leur disparition plonge les effectifs du commissariat de police dans l’inquiétude et la peur, ce qui incite la hiérarchie à remettre tout son personnel actif sur la voie publique.
C’est ainsi que le major-instructeur Stanek Zibanski, ancien flic de terrain, se retrouve en renfort des enquêteurs pour faire la lumière sur cette affaire sordide.
Mais celle-ci va s’avérer beaucoup plus complexe que voudrait le laisser supposer » la Crim « , et Zibanski va devoir lutter corps et âme pour faire éclater la vérité.
Il se retrouvera seul contre tous.
- Âmes Battues (Tome 2) d’Isabelle Villain : 183 pages
Résumé : Traumatisée par l’issue de sa dernière affaire, le commandant Rebecca de Lost est chargée d’élucider le meurtre d’une prostituée, frappée à mort et abandonnée dans une ruelle sordide.
Les enquêteurs se retrouvent confrontés à un psychopathe diaboliquement intelligent dont l’ambition est de battre la police à son propre jeu. Enfermé dans une spirale infernale, il est désormais contraint d’aller jusqu’au bout de sa manipulation. La partie est perdue d’avance. Il le sait, les flics, pas encore.
- Morts Chroniques de Nick Gardel : 278 pages
Résumé : Un corps est retrouvé dans le chaudron de caramel d’une fête foraine. Bientôt, c’est un second cadavre qui est découvert dans une petite ville de Seine-et-Marne. Les deux victimes n’ont en commun que leur appartenance à un groupe de lecteurs sur Facebook. Les meurtres suivent le déroulement d’un exercice de « cadavre exquis » initié sur le réseau social. Un jeu de piste compliqué et sanguinaire se lance pour Éliane Condrieux et les autres membres de l’équipe du Capitaine Henri Verdiant. Surtout quand sa plus jeune collègue vient à disparaître.
Beau comptage les journaux infernaux
J’aimeAimé par 1 personne
Oui c etait une belle semaine ☺ merci
J’aimeJ’aime